Retrouver l'authenticité des grandes histoires
 

                                              
 

11/09


Quelques réflexions ensemble…

 

 

 

 

 

 

A une époque de confusion, de fausses certitudes et de conflits absurdes, il est temps de se poser des questions. Parce que c’est en se les posant qu’on a le plus de chances de parvenir à la vérité, mais aussi à la liberté.

 

-Suis-je une personne libre, volontaire, éclairée, responsable, ou ne fais-je qu’obéir à une autorité sans me poser de questions ? Quels risques je prends à ne pas vouloir m’en poser au moins quelques-unes ?

 

-Est-ce que ce que je dis est le résultat de mes propres observations et réflexions, ou ne fais-je que répéter ce que d’autres ont déjà pensé ma place ?

 

-Quelle société suis-je en train de construire ou de condamner par mon comportement, ma parole, mes agissements ? Qu’est-ce que je suis vraiment en train de faire ?

 

-Quel est l’impact de mes actes sur le monde, sur toute la société ? Quel exemple, bon ou mauvais, suis-je en train de donner aux autres ?

 

-Qu’est-ce qui me motive réellement à agir comme je le fais ? L’altruisme, la raison ou la peur ?

 

-Est-ce que j’aide vraiment les autres en faisant cela ?

 

-Suis-je un scientifique, capable de doute raisonné, de libre examen et de véritable enquête, ou bien un fanatique devenu incapable de sortir de ses dogmes ?

 

Nous sommes à une époque où l’on accepte de moins en moins qu’on nous dise ce que l’on doit faire ou penser. Et c’est parfaitement normal. Jamais encore nous n’avons disposé d’autant de savoir et de méthodes pour nous faire notre propre idée des choses, au cas où la seule observation du monde qui nous entoure ne suffirait pas.

 

Si ces questions sont posées à soi-même avec sincérité et jusqu’au bout, les risques de se tromper sont très très faibles. Il me semble tout à fait possible d’affirmer qu’il y a des gens qui ne veulent pas qu’on se les pose. Demandons-nous pourquoi.

 

Si l’on respecte l’idéal de démocratie, personne n’est habilité à vous dire ce que vous devez penser. Ainsi, ces réponses, vous seul.e.s pouvez vous les apporter.

 

Mes amitiés.


 

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Le devoir de Résistance



Une urgence face à la situation actuelle : signer la grande pétiton contre le passeport sanitaire


 
Je n'avais pas prévu de le faire, mais les circonstances me poussent à agir, et à m'engager, en tant qu'artiste, mais surtout, en tant que citoyen. En 2021, le 14 juillet, jour de la Fête Nationale, dans un contexte d'autoritarisme sanitaire délirant, je mesure pleinement, mais avec tristesse, la chance qu'ont la plupart des citoyens du monde de ne pas habiter en France.

Le constat est sans appel : la France devient, est devenue depuis plusieurs années une dictature, au moins depuis la proclamation de l'état d'urgence fin 2015. C'est à partir de ce moment que la Vème République a montré son pire visage, celui de l'autoritarisme, l'éloignant année après année de l'idéal de démocratie. Cette démocratie, nous ne devons plus lutter pour la défendre, mais pour la ré-instaurer. Reconquérir nos droits dans une France autrefois foyer des Droits Humains, aujourd'hui devenue véritable cancre de la démocratie en Europe.

La situation actuelle découle d'une logique autoritaire et sécuritaire déjà enclenchée. Les médias, plus que complices, en réalité davantage des faiseurs de rois et de tendances, évoquent désormais chaque semaine l'idée d'une possible "guerre civile". C'était inpensable il y a encore 10 ans. Cette agitation de la marionnette de la guerre civile est une justification réactionnaire, permettant les pires privations de droits, au nom, dit-on, de notre sécurité.

Cete idée de la guerre civile semble en réalité vouloir cacher un terme, un concept qui fait peur aux élites autoritaires : celui de la Révolution. Celle là même qui a lancé notre République, la 1ère, et inspiré le monde entier. La 1ère, et non la 5ème, élaborée dans une sorte d'état d'urgence, en pleine Guerre d'Algérie, et qui aurait du être réformée dès la fin des années 60, chose que De Gaulle a tenté. Mais ce sont les milieux d'argent et les médias qui ont poussé les Français à dire "non" à un référendum de 1969 qui aurait pourtant changé bien des choses.

Trop souvent, depuis la petite enfance, le monde scolaire nous apprend que celui ou celle qui ne suit pas les règles doit être puni.e. Ce qui est le début du conditionnement à une future vie d'adulte végétative, comme si elle devait demeurer éternellement mineure politiquement et socialement. En France, nous sommes l'un des pays où le moins de gens sont présents dans les syndicats et les partis politiques, les lobbies sont extrêmement puissants et l'Etat dispose depuis les années 60 de moyens démesurés, contraires à l'exercice réel de la démocratie. Il est temps de changer les choses.

Lorsque les autoritaires sont au pouvoir ou veulent le conquérir, moins nous osons, plus ils osent. Changer les choses commence par faire usage de nos droits, et de ne pas craindre la lutte. Ce n'est pas la réaction des autres que les aspirants à la démocratie doivent attendre. La seule chose qui doit nous inquiéter n'est pas la réaction des autres, mais leur absence de réaction. Et nous devons nous lancer nous-mêmes avec engagement, comme si l'autre n'allait pas initier le mouvement, et que c'est bien le notre, que initie ensuite le leur.

Voter et manifester sont deux solutions à notre portée, qui ne doivent pas être négligées.

Ils ne veulent pas nous écouter, alors aucun dialogue n'est possible avec les défenseurs d'une dictature qui ne dit pas son nom. Nous devons faire connaître nos revendications et continuer notre combat politique, au-delà des injures et du mépris constant manifesté par les médias à l'égard de ceux et celles qui n'acceptent pas tout. Les médias semblent devenus le principal obstacle à la démocratie et à la pluralité de l'information, dont ils donnent une version unique, et vont même jusqu'à condamner ceux qui refusent cette seule version. Les médias sont un des principaux éléments responsables de la démobilisation et de la démoralisation de nombreux Français et Françaises.

Si dans une dictature, on vous dit que vous n'avez pas le droit de désobéir, alors vous devez vous rappeler que les Insurgés des Etats-Unis n'avaient pas le droit de faire ce qu'ils ont fait en 1776. Pas plus le droit que les Révolutionnaires de mettre fin à l'Ancien Régime. Pas davantage non plus que ceux qui ont fait 1830 et 1848, pour les débuts d'un droit de vote universel. N'avaient pas non plus le "droit d'agir" les Résistants, lorsque le pouvoir officiel de Vichy collaborait avec l'ennemi de la France et du genre humain. C'est pourtant avec ces révoltés que les peuples ont acquis des droits ; ils n'avaient pas le droit, mais ont fait leur devoir.

Je ne dis pas que nous aurons à aller jusque là. Pour l'instant, signons et faisons signer cette pétition urgente :

https://petition-passeport-sanitaire.com/signature

Nous avons jusqu'au 21 juillet pour réunir le maximum de signatures possible. Êtrre au moins 1 million à avoir signé avant le vote du Parlement concernant le pass sanitaire et l'obligation vaccinale que l'on tente de nous imposer, sous peine d'être privé de nos libertés, y compris de nous faire soigner lorsque nous sommes vraiment malades. Pour sauver ce qu'il reste de nos libertés, et commencer à les reconquérir, il faut absolument signer cette pétition.

L'exemple britannique est excellent : c'est parce que les gens ont manifesté, à hauteur d'un million de personnes à Londres le 29 juin que le gouvernement à cédé, et rouvrira tout sans restrictions dès le 19 juillet. Cette victoire, qui n'est pas isolé, doit nous pousser à agir à notre tour.

Vivent celles et ceux qui demeurent dignes et libres, et osent se tenir droits face à la marée noire des lâches et des corrompus. Ce sont grâce à des personnes de cette valeur que la France, et tant d'autres pays dans le monde, ont pu devenir des démocraties, et le rester. C'est parce qu'ils et elles ont cru en la possibilité d'un avenir meilleur que la victoire a été possible. Il n'est pas trop tard. Nous ne devons jamais l'oublier.

Mes amitiés,

César Vega.
 
 
 



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